Il ne s’agit pas de devenir végétarien mais de diminuer sa consommation hebdomadaire de viande. Certains disent qu’aussi bien pour la santé que pour le bien être de la planète, consommer de la viande deux fois par semaine serait conseillé. La raison en est que l’élevage à grande échelle est en train d’épuiser les espaces naturelles à cause d’une importante production céréalière. Les fermiers utilisent beaucoup d’eau, d’énergie fossile et arrive même aux déboisements et aux déforestations pour pouvoir appuyer leur production. Selon les scientifiques, cette procédée qui pousse à accroitre les espaces cultivables pourrait entraîner une destruction à 40% de la forêt Amazonienne et de bien d’autres forêts menacées d’ici une trentaine d’années.
Afin d’apporter un soutien à l’équilibre écologique planétaire, les fervents défenseurs de la planète conseillent de consommer moins de viande et de privilégier les produits à faible empreinte écologique tels que le quinoa, l’orge, le seigle et le blé. Evitez également la consommation des poissons d’élevage et des espèces qui commencent à s’éteindre à cause de la surpêche tels que le thon rouge. Effectivement, moins on consomme ces produits issus d’une surproduction controversée plus on augmente l’espérance de vie de notre planète.
La consommation des produits bio a toujours été un grand sujet ces 20 dernières années. De nombreux citadins cultivent maintenant leurs petits légumes en bacs sur la véranda et la ménagère moderne privilégie l’achat des œufs de poules qui n’ont pas été élevées en batterie.
Si on consomme des produits naturels qui ont été élevés sans pesticides et autres produits regorgés d’hormones et de gaz nocifs, on décourage les modes d’élevage et de culture qui ne fait qu’accroitre la pollution atmosphérique. En effet, avec la libération quotidienne des produits synthétique, naturels et chimique dans l’atmosphère ; issue des diverses activités de l’Homme, le taux de polluants atmosphérique augmente.