Le bilan carbone pour les emballages de conserves alimentaire
La production des conserves alimentaires implique une empreinte carbone significative que ce soit pour le traitement des aliments conservés ou pour la production des emballages. Concernant les emballages, la plus faible empreinte carbone au cours de la production a été attribuée à l’emballage en plastique rigide. L’emballage en métal vient après le plastique rigide. Quant au sachet en plastique c’est lui qui a la plus lourde empreinte carbone en phase de production.
Le bilan carbone pour la fin de vie des emballages
Si l’on note une empreinte carbone moins élevée pour le plastique rigide au cours de la production jusqu’à la mise en vente des aliments en conserve, il n’en n’est pas de même lors de la fin de vie des emballages testés. En effet, pour le cycle de fin de vie, c’est l’emballage en métal qui a la plus basse empreinte carbone, vient ensuite l’emballage en plastique rigide et puis le sachet en plastique. L’emballage en plastique rigide émet deux fois moins de gaz à effet de serre que le sachet en plastique. L’utilisation de plastique recyclable ou de bioplastique serait la meilleure solution pour réduire l’empreinte carbone des emballages de conserves alimentaire en faits en plastique.